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Des résidences BBC
Des résidences BBC
Description du récit
- Nous avons construit une nouvelle résidence BBC pour diminuer les charges, afin que les résidents aient moins à payer en fin de mois. On s’engage dans les transitions sociétales et environnementales : c’est un challenge à ne pas louper !
Type de récit
Témoignage
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Transformation écologique : habitons nos territoires autrement !"
Nom du contributeur
Hamid Ifri
Structure & Fonction
Directeur de l’association Arcadis
Votre ville
Roubaix
Distopie
Distopie
Description du récit
Je m’appelle Malcolm, j’ai 22 ans. Je suis résident de la résidence ‘Corsica Ferry’ à Bastia, où je termine mon 7ème Master ‘Algorithmes et logistique’. Ce midi, 29 novembre 2025, je rentre dans la résidence vers 12h30 quand soudain je suis accueilli en musique par des pompom boys and girls de la société Amazone 2025. A mon grand étonnement, ils m’entourent pour me conduire vers une surprise disent-ils… Le directeur, que je n’avais pas remarqué sous sa casquette fluo Carrefour/Auchan, m’annonce que je suis le 100ème utilisateur de la plateforme de coworking Apple installée dans les locaux depuis le 1er janvier dernier. Nous nous dirigeons alors vers ces locaux en prenant le couloir SANOFI, puis dans la salle collective ‘Uber pour tous’. Nous arrivons enfin dans la salle de coworking Apple, où je suis applaudi par l’hologramme de la Présidente de l’hyper-région PACAC (regroupant les anciennes régions PACA et Occitanie), ainsi que par celui du Président de la communauté de commune Bastia Nord de Corse. J’apprends alors que j’ai gagné un droit à ‘l’APL jackpot’ du mois ! Nous partageons alors un pot et un buffet, bien sûr livré et servi par Amazone 2025 !
Type de récit
Fictionnel
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Agissons sur les conditions faites aux jeunes !"
Nom du contributeur
Administrateur Habitat Jeunes
Votre ville
Paris
Distopie
Distopie
Description du récit
Il est 20h30, ce 29 novembre 2030… Nous sommes un peu en retard Monsieur Martinet moi-même pour participer à la réunion de conseil de vie sociale qui est programmé ce jour-là… Monsieur Martin est l’élu de quartier. Depuis la dernière réforme des collectivités locales, les 36 000 communes ont été réduites à 2500, mais l’élu de quartier devient un interlocuteur essentiel pour nous.
En ce qui me concerne, je connais bien le bâtiment qui a vécu l’année dernière sa 14ème réhabilitation. J’ai 83 ans et, grâce aux progrès de la médecine, je suis encore suffisamment alerte, et personne n’évoque ma sénilité naissante devant moi. Ajoutez des évolutions statutaires successives que j’ai provoquées, je peux toujours m’occuper de l’association mondiale Habitat Jeunes et gérer sa 2500ème résidence. En rentrant dans la résidence, je salue Grégoire, notre bénévole qui assure les missions d’accueil et de veille de nuit dans le cadre de la mobilisation des retraités nécessaire à la suite des réformes des retraites.
Je passe par l’espace de coworking qui accueille une cinquantaine de start-ups, et un espace dédié aux résidents qui sont en travail à domicile. En effet, nous devons gérer deux conséquences de l’évolution du marché du travail : le travail à distance permanent, et le travail à la tâche qui s’est malheureusement généralisé sous l’égide de l’entreprise multiservices Uber. Cela nous pose des difficultés pour la continuité du paiement des loyers, et la variation mensuelle de l’aide personnalisée au logement… Mais nous assurons une continuité du bail qui nous différencie des autres acteurs de l’habitat. Le dîner a été préparé avec les produits du jardin biologique que nous avons installé sur le toit de l’immeuble.
L’ordre du jour du CVS ressemble à un conseil syndical pour moitié et à un conseil de quartier pour l’autre. En effet, c’est ici que se décide la gestion technique de l’ensemble de l’immeuble, et du programme d’action socio-éducative destiné aux jeunes résidents et à l’ensemble des jeunes du quartier. La conclusion de la réunion a été assez exigeante dans la mesure où nous devions travailler sur la motion du congrès de notre Union nationale, qui nous demandait de contribuer à la définition des objectifs habitat jeunes 2030/2080 pour les résidences qui sont menacées de submersion compte tenu de la montée des eaux due aux changements climatiques.
En ce qui me concerne, je connais bien le bâtiment qui a vécu l’année dernière sa 14ème réhabilitation. J’ai 83 ans et, grâce aux progrès de la médecine, je suis encore suffisamment alerte, et personne n’évoque ma sénilité naissante devant moi. Ajoutez des évolutions statutaires successives que j’ai provoquées, je peux toujours m’occuper de l’association mondiale Habitat Jeunes et gérer sa 2500ème résidence. En rentrant dans la résidence, je salue Grégoire, notre bénévole qui assure les missions d’accueil et de veille de nuit dans le cadre de la mobilisation des retraités nécessaire à la suite des réformes des retraites.
Je passe par l’espace de coworking qui accueille une cinquantaine de start-ups, et un espace dédié aux résidents qui sont en travail à domicile. En effet, nous devons gérer deux conséquences de l’évolution du marché du travail : le travail à distance permanent, et le travail à la tâche qui s’est malheureusement généralisé sous l’égide de l’entreprise multiservices Uber. Cela nous pose des difficultés pour la continuité du paiement des loyers, et la variation mensuelle de l’aide personnalisée au logement… Mais nous assurons une continuité du bail qui nous différencie des autres acteurs de l’habitat. Le dîner a été préparé avec les produits du jardin biologique que nous avons installé sur le toit de l’immeuble.
L’ordre du jour du CVS ressemble à un conseil syndical pour moitié et à un conseil de quartier pour l’autre. En effet, c’est ici que se décide la gestion technique de l’ensemble de l’immeuble, et du programme d’action socio-éducative destiné aux jeunes résidents et à l’ensemble des jeunes du quartier. La conclusion de la réunion a été assez exigeante dans la mesure où nous devions travailler sur la motion du congrès de notre Union nationale, qui nous demandait de contribuer à la définition des objectifs habitat jeunes 2030/2080 pour les résidences qui sont menacées de submersion compte tenu de la montée des eaux due aux changements climatiques.
Type de récit
Fictionnel
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Renforçons nos dynamiques collectives !"
Nom du contributeur
Administrateur Habitat Jeunes
Votre ville
Nantes
Existe-t-il un vaccin contre les crises d'angoisse ?
Existe-t-il un vaccin contre les crises d'angoisse ?
Description du récit
« C’est dur d’avoir 20 ans en 2020.» J’ai ri jaune en entendant cette déclaration du chef de l’Etat, le 14 octobre 2020. A cette époque, comme beaucoup de jeunes, je me sentais abandonné par les pouvoirs publics. Je faisais l’expérience d’un stress intense et d’importants coup de déprimes. L’isolement, les cours dispensés intégralement en ligne, ajoutés à tous les problèmes que connaissent les jeunes adultes, avaient rendu nos vies difficiles, et peu de gens semblaient reconnaître le sacrifice demandé aux étudiants.
L’année 2020 s’était pourtant relativement bien passée pour moi. J’avais vécu un premier confinement en échange Erasmus entre mars et juillet 2020, en colocation avec quelques connaissances, puis un second confinement dans une résidence étudiante. Hormis une sensation de stress et d’incertitude, je ne sentais pas ma santé en danger. J’étais cependant sur le point de faire l’expérience d’un problème d’une nouvelle intensité.
Début janvier 2021, après la période des fêtes et du nouvel an, le retour des responsabilités déclenche chez moi des crises d’angoisse qui me clouent au lit pendant quelques jours. Peu à peu, j’apprends à connaître mes symptômes : sensation d’angoisse quasi-constante, fatigue, vertiges, sensation de déséquilibre permanent. Très vite, je développe aussi des phobies, peur des battements de mon cœur, de m’évanouir, de mourir.
Quand ce genre de problèmes arrivent, on s’en veut d’abord à soi-même. Dès les premiers jours je repasse tout ce que j’ai pu faire de mal à mon corps et à mon esprit dans les dernières années. Était-il raisonnable de consommer autant d’alcool pendant mon Erasmus et mon second confinement ? Aurais-je dû apprendre à m’écouter plus tôt ? Était-il si raisonnable de me mettre à fumer du tabac et du cannabis ces deux dernières années ? Aurais-je dû être plus proche de ma famille pour me sentir plus stable ?
En parallèle, je commence à chercher de l’aide, et à comprendre réellement ce qui m’arrive. Comme pour beaucoup de cas d’angoisse, on me prescrit des anxiolytiques. Loin d’être un traitement de fond, ces médicaments permettent de « limiter les dégâts », d’étouffer les moments où le corps entre en crise. Je consulte ensuite une psychologue, qui m’aide à essayer de comprendre pourquoi je suis dans cet état. J’essaie tout pour tenter de revenir à la normale : méditation, relaxation, exercice physique. Mais rien n’y fait.
La vie continue
La maladie s’est progressivement intégrée à mon quotidien. En février, ma copine rencontrée en Erasmus me rejoint. En mars, je trouve un stage et en avril, je commence à travailler. C’est à ce moment que je m’installe avec ma copine en Foyer de jeunes travailleurs, pour fréquenter d’autres jeunes et avoir une vie sociale « normale ».
En mai, comme tout le monde, je souffle pour la première fois depuis longtemps en voyant la vie reprendre à nouveau dans les rues. C’est à ce moment que je réalise à quel point les mesures restrictives pesaient sur moi.
Aujourd’hui, mes problèmes n’ont pas disparu, j’essaie d’apprendre à les connaître, et à « faire avec », pour avancer. De temps à autre, les symptômes changent, les stress se transforment en douleurs, les douleurs en sensations de tension, et ces sensations en fatigue. De temps en temps, aussi, je me sens presque « normal » le temps d’une journée.
S’il reste un handicap majeur dans ma vie aujourd’hui, j’ai compris que mon problème disparaîtrait avec le temps. Si ma crise a certainement été provoquée par la situation imposée aux étudiants, elle correspond aussi certainement à une période de transition dans mon esprit, et elle ne s’arrêtera uniquement lorsque je serais en accord avec moi-même. Je suis cependant plus serein. Aujourd’hui, le plus important pour moi est d’être à l’aise pour en parler, et de ne pas abandonner la recherche de solutions.
L’année 2020 s’était pourtant relativement bien passée pour moi. J’avais vécu un premier confinement en échange Erasmus entre mars et juillet 2020, en colocation avec quelques connaissances, puis un second confinement dans une résidence étudiante. Hormis une sensation de stress et d’incertitude, je ne sentais pas ma santé en danger. J’étais cependant sur le point de faire l’expérience d’un problème d’une nouvelle intensité.
Début janvier 2021, après la période des fêtes et du nouvel an, le retour des responsabilités déclenche chez moi des crises d’angoisse qui me clouent au lit pendant quelques jours. Peu à peu, j’apprends à connaître mes symptômes : sensation d’angoisse quasi-constante, fatigue, vertiges, sensation de déséquilibre permanent. Très vite, je développe aussi des phobies, peur des battements de mon cœur, de m’évanouir, de mourir.
Quand ce genre de problèmes arrivent, on s’en veut d’abord à soi-même. Dès les premiers jours je repasse tout ce que j’ai pu faire de mal à mon corps et à mon esprit dans les dernières années. Était-il raisonnable de consommer autant d’alcool pendant mon Erasmus et mon second confinement ? Aurais-je dû apprendre à m’écouter plus tôt ? Était-il si raisonnable de me mettre à fumer du tabac et du cannabis ces deux dernières années ? Aurais-je dû être plus proche de ma famille pour me sentir plus stable ?
En parallèle, je commence à chercher de l’aide, et à comprendre réellement ce qui m’arrive. Comme pour beaucoup de cas d’angoisse, on me prescrit des anxiolytiques. Loin d’être un traitement de fond, ces médicaments permettent de « limiter les dégâts », d’étouffer les moments où le corps entre en crise. Je consulte ensuite une psychologue, qui m’aide à essayer de comprendre pourquoi je suis dans cet état. J’essaie tout pour tenter de revenir à la normale : méditation, relaxation, exercice physique. Mais rien n’y fait.
La vie continue
La maladie s’est progressivement intégrée à mon quotidien. En février, ma copine rencontrée en Erasmus me rejoint. En mars, je trouve un stage et en avril, je commence à travailler. C’est à ce moment que je m’installe avec ma copine en Foyer de jeunes travailleurs, pour fréquenter d’autres jeunes et avoir une vie sociale « normale ».
En mai, comme tout le monde, je souffle pour la première fois depuis longtemps en voyant la vie reprendre à nouveau dans les rues. C’est à ce moment que je réalise à quel point les mesures restrictives pesaient sur moi.
Aujourd’hui, mes problèmes n’ont pas disparu, j’essaie d’apprendre à les connaître, et à « faire avec », pour avancer. De temps à autre, les symptômes changent, les stress se transforment en douleurs, les douleurs en sensations de tension, et ces sensations en fatigue. De temps en temps, aussi, je me sens presque « normal » le temps d’une journée.
S’il reste un handicap majeur dans ma vie aujourd’hui, j’ai compris que mon problème disparaîtrait avec le temps. Si ma crise a certainement été provoquée par la situation imposée aux étudiants, elle correspond aussi certainement à une période de transition dans mon esprit, et elle ne s’arrêtera uniquement lorsque je serais en accord avec moi-même. Je suis cependant plus serein. Aujourd’hui, le plus important pour moi est d’être à l’aise pour en parler, et de ne pas abandonner la recherche de solutions.
Type de récit
Témoignage
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Conclusion
Nom du contributeur
Résident Habitat Jeunes
Votre ville
Lille
Facilitatrice de vie
Facilitatrice de vie
Description du récit
Dans ma nouvelle résidence appartenant à une association qui en regroupe d’autres et qui répond aux besoins des jeunes enfants jusqu’aux personnes du 3ème âge… Je rentre et je vois des enfants de 2/3 ans qui jouent avec de jeunes adultes de la résidence et des personnes âgées. Je suis la 1ère ‘facilitatrice de vie’ avec une mission transversale auprès des différents publics (…). Les publics accueillis sont originaires des 4 coins du monde et différentes cultures d’origine nous proposent une ouverture sur le monde, mais aussi sont témoins d’une inégalité grandissante.
Type de récit
Fictionnel
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Agissons sur les conditions faites aux jeunes !"
Nom du contributeur
Récit rédigé collectivement dans le cadre du séminaire de préparation de la motion
Votre ville
Vincennes
La technologie au service des jeunes...
La technologie au service des jeunes...
Description du récit
Nous sommes le 29 novembre 2025. Moi, Sylvie, animatrice, je rentre dans la résidence quand soudain, Edouard m’interpelle. Il vient de trouver un job en avant-première grâce au dispositif PE/ML/RHJ. Hyper contente, je prends ma tablette pour poster un message aux collègues sur l’intranet. Installée dans la salle foyer-accueil, je suis vite interpellée par les nombreux jeunes qui s’y trouvent. Je choisis de m’installer dans le canapé de l’espace rencontre, plus au calme. En sortant, je croise le directeur qui m’informe de la signature d’une convention avec le club des entreprises du territoire et l’asso pour dynamiser l’emploi et la formation, avec le soutien financier de la région et de la comcom’. Je prends le courrier du jour : la CAF nous indique que l’interface SIHAJ/CAF est opérationnelle et que, de ce fait, les APL sont débloquées dès le 1er jour d’arrivée du résident. Je suis confiante et heureuse.
Type de récit
Fictionnel
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Agissons sur les conditions faites aux jeunes !"
Nom du contributeur
Salarié Habitat Jeunes
Votre ville
Lyon
Mon intégration Habitat Jeunes
Mon intégration Habitat Jeunes
Description du récit
Nous sommes le 29 novembre 2025. Nouvellement élu par l’Assemblée générale, je rentre dans la résidence… pour participer à ma 1ère réunion de CA. Ma 1ère surprise est venue à la lecture de l’ordre du jour joint à la convocation. Celui-ci est rempli de mots et de sigles inconnus de moi. Ceci me convainc de suivre au plus vite une formation pour combler ce déficit de connaissances dans les domaines législatif et réglementaire. Ma 2ème surprise a lieu lors de mon entrée dans la salle de réunion. Je découvre en effet une grande diversité de personnes aux parcours, formations et cultures différents et une moindre diversité d’âges.
Type de récit
Fictionnel
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Renforçons nos dynamiques collectives !"
Nom du contributeur
Administrateur UNHAJ
Votre ville
Vincennes
Multiplication des situations alarmantes
Multiplication des situations alarmantes
Description du récit
Sur ma résidence, je viens de vivre deux tentatives de suicide en un mois, ce qui n’était jamais arrivé depuis mon arrivé il y a 5 ans
Type de récit
Témoignage
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Conclusion
Nom du contributeur
Directeur d'association Habitat Jeunes
Votre ville
Normandie
Participer à la gouvernance
Participer à la gouvernance
Description du récit
Je m’investis en tant que secrétaire du CA, je suis présent sur l’ensemble des événements. L’association a un Conseil d'Administration très engagé, très mobilisé. C’est un investissement personnel pour une association où j’ai vécu 6 mois.
Type de récit
Témoignage
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Renforçons nos dynamiques collectives !"
Nom du contributeur
Saliou Balde
Structure & Fonction
Ex résident et administrateur de Tivoli Initiatives
Votre ville
Bourges
Plus qu'un logement...
Plus qu'un logement...
Description du récit
Nous sommes le 29 novembre 2025, je rentre dans la résidence Habitat Jeunes de Macouba, en ayant déjà visualisé les lieux, mon logement, les équipements via l’application ‘Modinihabitat’ sur mon portable, mon rendez-vous fixé. Quand soudain… Je suis accueilli par un petit groupe de jeunes et un animateur, dans un espace plein de vie (jeunes, administrateurs, anciens, récents) ouvert sur le quartier. On échange sur leurs expériences au sein du projet, on partage sur les valeurs, les projets. Ils me présentent les services, les activités, potentialités et ressources du territoire Nord/Macouba. Ils me font visiter les lieux. Je suis invité à rejoindre le projet/la résidence, à rentrer dans mon logement, participer et m’investir dans la vie collective et/ou la conduite du projet. Je fais le choix d’intégrer la résidence HJ de Macouba. On me sollicite pour proposer une idée de service, d’activité… dont je pourrais être un des référents et/ou animateur en binôme avec l’équipe socio-éducative. Je suis fier, confiant et heureux.
Type de récit
Fictionnel
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Renforçons nos dynamiques collectives !"
Nom du contributeur
Administrateur Habitat Jeunes
Votre ville
Fort-de-France
Proposition de la synthèse de groupes de travail organisés à Clairvivre-Wogenscky afin de réfléchir ensemble, salariés et bénévoles sur le projet d'avenir de l'association : Plusieurs thématiques qui peuvent compléter la motion de l'UNHAJ : Habitat jeunes d’aujourd’hui et de demain / Tourisme social / ESS – Economie sociale et solidaire / Education populaire – développement des projets collectifs / Développement durable - Economie circulaire - Restauration
Proposition de la synthèse de groupes de travail organisés à Clairvivre-Wogenscky afin de réfléchir ensemble, salariés et bénévoles sur le projet d'avenir de l'association : Plusieurs thématiques qui peuvent compléter la motion de l'UNHAJ : Habitat jeunes d’aujourd’hui et de demain / Tourisme social / ESS – Economie sociale et solidaire / Education populaire – développement des projets collectifs / Développement durable - Economie circulaire - Restauration
Description du récit
Groupes de travail équipe de bénévoles et de salariés Clairvivre-Wogenscky
Type de récit
Témoignage
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Préambule
- Orientation "Agissons sur les conditions faites aux jeunes !"
- Orientation "Renforçons nos dynamiques collectives !"
- Orientation "Transformation écologique : habitons nos territoires autrement !"
Nom du contributeur
Association Clairvivre-Wogenscky - Habitat jeunes Saint-Etienne (42)
Votre ville
Saint-Etienne
Une résidence intergénérationnelle multiservices
Une résidence intergénérationnelle multiservices
Description du récit
Nous sommes le 29 novembre 2030, je rentre dans une résidence intergénérationnelle multiservices avec des espaces de coworking et des jeunes en télétravail. La garde des enfants est réalisée en papysitting.
Des panneaux photovoltaïques ont été installés, fournissant l’énergie d’un habitat écologique. La restauration utilise les produits locaux. Il y a peu de déchets qui sont tous recyclés. Toutes les fonctions support sont mutualisées entre les associations sur un territoire donné. Des ateliers circulaires fonctionnent (petits meubles, électroménager), ainsi que des ateliers de réparation, avec une ouverture aux structures d’insertion.
Des panneaux photovoltaïques ont été installés, fournissant l’énergie d’un habitat écologique. La restauration utilise les produits locaux. Il y a peu de déchets qui sont tous recyclés. Toutes les fonctions support sont mutualisées entre les associations sur un territoire donné. Des ateliers circulaires fonctionnent (petits meubles, électroménager), ainsi que des ateliers de réparation, avec une ouverture aux structures d’insertion.
Type de récit
Fictionnel
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Transformation écologique : habitons nos territoires autrement !"
Nom du contributeur
Récit rédigé collectivement dans le cadre du séminaire de préparation de la motion
Votre ville
Vincennes
happiness manager
happiness manager
Description du récit
Je suis animatrice ‘happiness manager’ dans un environnement connecté, dans un lieu où on débat régulièrement (une fois par semaine ou par quinzaine). Je co-anime avec un jeune qui est tiré au sort ou sur élection sans candidat. On débat toujours de sujets courants… On entretient les neurones et la réflexion ! Certains débats ont lieu sur site et d’autres via une appli.
On fait en sorte que les jeunes participent à la gouvernance, qu’ils expérimentent le rôle de président, y compris dans les RDV avec les politiques/financeurs. On organise un ‘road trip’ sur le territoire et de manière ouverte avec d’autres résidences. Sous le même toit, on accueille le PIJ, la maison des ados, la MJC, le centre social. Par cette réalité, on pratique tolérance et citoyenneté, et on accompagne des projets collectifs via un budget participatif. On créé une appli ‘pédibus solidaire’. Bref, en 2030, Habitat Jeunes n’a jamais été aussi actuel, on a su s’adapter aux territoires, à la société…
On fait en sorte que les jeunes participent à la gouvernance, qu’ils expérimentent le rôle de président, y compris dans les RDV avec les politiques/financeurs. On organise un ‘road trip’ sur le territoire et de manière ouverte avec d’autres résidences. Sous le même toit, on accueille le PIJ, la maison des ados, la MJC, le centre social. Par cette réalité, on pratique tolérance et citoyenneté, et on accompagne des projets collectifs via un budget participatif. On créé une appli ‘pédibus solidaire’. Bref, en 2030, Habitat Jeunes n’a jamais été aussi actuel, on a su s’adapter aux territoires, à la société…
Type de récit
Fictionnel
Ce récit illustre quelle partie de la motion?
- Orientation "Renforçons nos dynamiques collectives !"
Nom du contributeur
Extrait d’un récit sur Habitat Jeunes 2025
Votre ville
vincennes